OMNI­TRO­PE 5 mg 1,5 ml, solu­ti­on injec­ta­ble, boî­te de 5 car­tou­ch­es pour Sure­Pal de 1,50 ml

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OMNI­TRO­PE 5 mg 1,5 ml, solu­ti­on injec­ta­ble, boî­te de 5 car­tou­ch­es pour Sure­Pal de 1,50 ml

Tout pati­ent pré­sen­tant une clau­di­ca­ti­on au cours­du trai­te­ment par la som­atro­pi­ne dev­ra être exami­né. Le sty­lo injec­teur Omni­tro­pe Pen 10, un dis­po­si­tif din­jec­tion spé­cia­le­ment con­çu pour être uti­li­sé avec Omni­tro­pe 6,7 mgml solu­ti­on injec­ta­ble non four­ni dans la boî­te voir les ins­truc­tions duti­li­sa­ti­on du sty­lo injec­teur Omni­tro­pe Pen 10. Si la solu­ti­on est trou­ble ou con­ti­ent des par­ti­cu­les, elle ne doit­pas être uti­li­sée.

Omni­tro­pe 6,7 mg/ml solu­ti­on injec­ta­ble

Par con­sé­quent, labon­ne adapt­a­ti­on de la dose d’hor­mo­ne soma­to­tro­pe dev­ra être con­trôlé­e­tous les 6 mois. La sécré­ti­on phy­sio­lo­gi­que d’hor­mo­ne de crois­sance­di­mi­nu­ant avec l’â­ge, une réduc­tion de la poso­lo­gie est pos­si­ble. La poso­lo­gie recom­man­dée est de 0,045 à 0,050 mg/kg de poids cor­po­rel par jour (1,4 mg/m2de sur­face cor­po­rel­le par jour). Des doses plus éle­vées peu­vent être­né­ces­saires si la vites­se de crois­sance est trop fai­ble. Il est­pos­si­ble qu’un ajus­tem­ent de la poso­lo­gie soit néces­saire après 6 mois­de trai­te­ment (voir rubri­que Mises en gar­de spé­cia­les et pré­cau­ti­ons d’em­ploi). Elle doit être admi­nis­trée uni­quemen­ta­vec Sure­Pal 15, un dis­po­si­tif d’in­jec­tion spé­cia­le­ment con­çu pour être­uti­li­sé avec Omni­tro­pe 15 mg/1,5 ml, solu­ti­on injec­ta­ble.

XEPLION 150 mg et XEPLION 100 mg, sus­pen­si­on injec­ta­ble àli­bé­ra­ti­on pro­lon­gée

  • Vous pour­riez avoir des trem­blem­ents, une for­te tran­spi­ra­ti­on, des som­no­len­ces ou avoir l’impression de ne pas être dans vot­re état nor­mal, et vous pour­riez vous éva­nouir.
  • Ils ne peu­vent en aucun cas rem­pla­cer l’a­vis et la con­sul­ta­ti­on d’un pro­fes­si­on­nel de san­té.
  • Bien­que rare, une pan­créa­ti­te doit être envi­sa­gée chez les pati­ents trai­té­s­par la som­atro­pi­ne pré­sen­tant des dou­leurs abdo­mi­na­les, notam­ment chez­les enfants.
  • Siune femme trai­tée par som­atro­pi­ne débu­te un trai­te­ment oes­tro­gé­ni­que­par voie ora­le, il peut être néces­saire d’aug­men­ter la dose deso­m­atro­pi­ne pour main­te­nir les taux séri­ques d’IGF‑1 dans l’in­ter­val­lenor­mal pour l’â­ge.

Chez­tous les pati­ents qui déve­lo­p­pent un état cri­tique aigu aut­re ousi­mi­lai­re, le béné­fice pos­si­ble d’un trai­te­ment par de la som­atro­pi­ne­doit être mis en balan­ce avec le ris­que potentiel. La som­atro­pi­ne ne doit pas être uti­li­sée en cas de preuve d’ac­ti­vi­té d’u­ne tumeur. Les tumeurs int­racrâ­ni­en­nes doi­vent être inac­ti­ves et tout trai­te­ment anti­tu­mo­ral dev­ra être ter­mi­né avant de com­men­cer le trai­te­ment par l’hor­mo­ne de crois­sance. Le trai­te­ment doit être inter­rom­pu en cas de signes de crois­sance de la tumeur.

Chez les adul­tes, com­me chez les enfants, la som­atro­pin­emain­ti­ent la com­po­si­ti­on cor­po­rel­le nor­ma­le en aug­men­tant la réten­tio­na­zo­tée, en sti­mu­lant la crois­sance du mus­cle sque­let­tique, et enmo­bi­li­sant les grais­ses cor­po­rel­les. La som­atro­pi­ne aug­men­te la lipo­ly­se etdi­mi­nue l’en­trée des tri­gly­cé­ri­des dans les réser­ves lipi­di­ques del’or­ga­nis­me. La som­atro­pi­ne aug­men­te https://www.ww-trading.nl/ou-acheter-des-steroides-en-toute-securite-les/ les con­cen­tra­ti­ons sériquesd’IGF‑1 (Insu­lin-like Growth Fac­tor 1) et IGFBP3 (Insu­lin-like Growth­Fac­tor Bin­ding Pro­te­in 3). Des­cas de leu­cé­mies (rares ou très rares) ont été rap­por­tés chez lesen­fants att­eints d’un défi­cit en hor­mo­ne de crois­sance trai­tés par­so­ma­to­tro­pi­ne, et cet effet indé­si­ra­ble a été inclus dans laphar­ma­co­vi­gi­lan­ce post-com­mer­cia­li­sa­ti­on.

Les pro­fes­si­on­nels de san­té­dé­cla­rent tout effet indé­si­ra­ble suspec­té via le sys­tème natio­nal de décla­ra­ti­on — voir Anne­xe V. †Rap­por­tée chez les enfants att­eints d’un défi­cit en hor­mo­ne decrois­sance et trai­tés par soma­to­tro­pi­ne ; cepen­dant, l’in­ci­dence sem­ble­si­mi­lai­re à cel­le retrou­vée chez les enfants ne pré­sen­tant pas dedé­fi­cit en hor­mo­ne de crois­sance. Unesco­lio­se est fré­quem­ment obser­vée chez les pati­ents pré­sen­tant unsyn­dro­me de Pra­der-Wil­li. Chez tous les enfants, la sco­lio­se est­sus­cep­ti­ble d’é­vo­luer lors d’u­ne crois­sance rapi­de.

Ce médi­ca­ment con­ti­ent de l’hor­mo­ne de crois­sance humaine (ou som­atro­pi­ne) obte­nue par bio­tech­no­lo­gie. Cet­te hor­mo­ne, natu­rel­le­ment sécré­tée dans l’or­ga­nis­me par l’hy­po­phy­se, per­met prin­ci­pa­le­ment de sti­mu­ler la croissance.chez l’en­fant. Après la péri­ode de crois­sance, la som­atro­pi­ne con­ser­ve une action sur le méta­bo­lis­me des sucres, des lipi­des et des pro­té­i­nes.

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