OMNI­TRO­PE 10 mg 1,5 ml sol inj

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OMNI­TRO­PE 10 mg 1,5 ml sol inj

L’expé­ri­en­ce­d’un trai­te­ment au long cours par l’hor­mo­ne de crois­sance chez l’a­dul­te­et les pati­ents pré­sen­tant un syn­dro­me de Pra­der-Wil­li est limi­tée. Encas de défi­cit soma­to­tro­pe second­ai­re à un trai­te­ment anti­tu­mo­ral, ilest recom­man­dé de sur­veil­ler les signes éven­tuels de réci­di­ve dupro­ces­sus tumo­ral. Par­mi les pati­ents ayant sur­vé­cu à un can­cer pen­dant­l’en­fan­ce, un ris­que accru de déve­lo­p­per une secon­de tumeur a été­si­gna­lé chez les pati­ents qui ont été trai­tés par la som­atro­pi­ne après­leur pre­miè­re tumeur. Les tumeurs second­ai­res les plus fré­quen­te­sé­tai­ent des tumeurs int­racrâ­ni­en­nes, en par­ti­cu­lier des méningiomes,chez les pati­ents ayant reçu une radio­thé­ra­pie céré­bra­le pour trai­ter­leur pre­miè­re tumeur. Chez­les pati­ents âgés de plus de 60 ans, le trai­te­ment doit être ini­tié àla dose de 0,1 — 0,2 mg par jour.

OMNI­TRO­PE 10 mg/1,5 ml sol inj

Si vot­re enfant pré­sen­te des maux de tête vio­lents ou répé­tés, des trou­bles visuels, des nau­sées ou des vomis­se­ments, une boi­te­rie, con­sul­tez rapi­de­ment un méde­cin. Aver­tis­sez vot­re méde­cin immé­dia­te­ment si vous obser­vez des signes de pan­créa­ti­te com­me une dou­leur située sur le côté supé­ri­eur gau­che de l’ab­do­men, un mal de dos, des nau­sées, une fiè­v­re, des fris­sons, des bat­te­ments de cœur rapi­des ou un gon­fle­ment de l’ab­do­men. Afin­d’a­mé­lio­rer la tra­ça­bi­li­té des médi­ca­ments bio­lo­gi­ques, le nom et len­u­mé­ro de lot du pro­duit admi­nis­tré doi­vent être clai­re­ment enre­gis­trés. La poso­lo­gie et le sché­ma d’ad­mi­nis­tra­ti­on doi­vent être adap­tés à chaque pati­ent.

CON­DUITE et UTI­LI­SA­TI­ON DE MACHI­NES

  • Iln’e­xis­te pas de don­nées ou il exis­te des don­nées limi­tées sur­l’­uti­li­sa­ti­on de la som­atro­pi­ne chez la femme encein­te.
  • Il est important d’al­ter­ner le site d’u­ne fois à l’aut­re pour mini­mi­ser le ris­que de per­te de tis­sus adi­peux au point d’in­jec­tion.
  • Lorsqu’il est déci­dé de trai­ter par GH un défi­cit second­ai­re à une lési­on int­racrâ­ni­en­ne, les pati­ents devront être sui­vis régu­liè­re­ment afin de dépis­ter une éven­tu­el­le pro­gres­si­on ou une réci­di­ve.
  • L’expé­ri­en­ce­d’un trai­te­ment au long cours par l’hor­mo­ne de crois­sance chez l’a­dul­te­et les pati­ents pré­sen­tant un syn­dro­me de Pra­der-Wil­li est limi­tée.
  • D’au­t­res médi­ca­ments que ceux énu­mé­rés pré­cé­dem­ment peu­vent inter­agir avec ce médi­ca­ment.

Il n’existe tou­jours pas de cri­tère vali­dé pour éva­luer l’efficacité de la rhGH chez l’adulte. L’amélioration est essen­ti­el­le­ment sub­jec­ti­ve (amé­lio­ra­ti­on de la qua­li­té de vie, dimi­nu­tion de la fati­ga­bili­té…). Les pati­ents trai­tés par la GH doi­vent cepen­dant être régu­liè­re­ment sui­vis avec recu­eil tous les 1 à 2 mois du poids, de la cir­con­fé­rence-tail­le/han­che, de la pres­si­on arté­ri­el­le jusqu’à ce que les doses opti­ma­les de rhGH soi­ent sta­bi­li­sées. Une appré­cia­ti­on de la qua­li­té de vie ain­si que des paramè­tres de com­po­si­ti­on cor­po­rel­le, en les com­parant aux don­nées de l’examen avant trai­te­ment, per­met de déci­der de la pour­suite du trai­te­ment.

Il est très important que ce médi­ca­ment soit employé con­for­mé­ment aux indi­ca­ti­ons de vot­re méde­cin. Si vous oubliez une dose, ne vous sou­ciez pas de la dose omi­se et repre­nez le sché­ma poso­lo­gi­que usuel. Si vous hési­tez sur la con­duite à tenir après avoir omis une dose, deman­dez con­seil à vot­re méde­cin ou à un phar­maci­en. Ce médi­ca­ment est dis­po­nible sous divers noms de mar­que ou sous dif­fé­ren­tes pré­sen­ta­ti­ons. Une mar­que spé­ci­fi­que de ce médi­ca­ment n’est peut-être pas offer­te sous tou­tes les for­mes ni avoir été approu­vée cont­re tou­tes les affec­tions dont il est ques­ti­on ici. En out­re, cer­tai­nes for­mes de ce médi­ca­ment pour­rai­ent ne pas être uti­li­sées cont­re tou­tes les affec­tions men­ti­onnées dans cet artic­le.

Tou­te­fois, la cor­ti­co­thé­ra­pie de sub­sti­tu­ti­on dev­ra être­op­ti­mi­sée avant d’in­stau­rer le trai­te­ment par cipan­drol 200 mge. Aucu­n­eétu­de cli­ni­que n’a été réa­li­sée avec des pro­duits con­ten­ant de laso­m­atro­pi­ne chez des femmes qui allai­tent. On ne sait pas si laso­m­atro­pi­ne est excré­tée dans le lait mate­r­nel ; cepen­dant l’ab­sorp­ti­on­gas­tro-intesti­na­le de la pro­téi­ne int­ac­te chez l’en­fant est trè­sim­pro­ba­ble. Par con­sé­quent, une atten­ti­on par­ti­cu­liè­re doit être­ap­por­tée lors­qu’­Om­ni­tro­pe est admi­nis­tré à des femmes qui allai­tent.

Chez les femmes sous trai­te­ment oes­tro­gé­ni­que sub­sti­tu­tif par voie ora­le, une dose plus éle­vée d’hor­mo­ne de crois­sance peut être néces­saire pour att­eind­re l’ob­jec­tif du trai­te­ment (voir rubri­que Mises en gar­de spé­cia­les et pré­cau­ti­ons d’em­ploi). Dans­le cas d’u­ne insuf­fi­sance réna­le chro­ni­que, la fon­c­tion réna­le dev­raêt­re infé­ri­eu­re à 50 % par rap­port à la nor­ma­le avant l’initia­ti­on dutrai­te­ment. Afin de con­firm­er le retard de crois­sance, la crois­sance­dev­ra être sui­vie au pré­alable pen­dant un an avant de mett­re en rou­te­le trai­te­ment.

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